Ils sont entre 8 et 10 % de la population, et ils ont longtemps passé pour des paresseux ou des incapables. Les dyslexiques ont une intelligence égale, voire supérieure à la moyenne, mais ils bloquent dans leur accès à l’écrit. On ne guérit jamais d’une dyslexie, mais on peut apprendre des techniques de compensation efficaces. Les neurosciences permettent de développer de nouvelles approches thérapeutiques prometteuses. Voici un documentaire suisse sur la dyslexie diffusé par la chaîne RTS. On suit notamment Maxime, un jeune garçon dyslexique mais aussi à haut potentiel intellectuel, tout comme ⅓ des personnes présentant une dyslexie.
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October 2018
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